Pour continuer

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Une deuxième serie de notre virée andalouse.

A ce stade-là j'étais malade comme un chien [pas malade une seule fois de tout l'hiver, mais loi de Murphy oblige, il faut que je me tape fièvre, nez bouché et tout le tintouin une fois en vacances].

Ces deux jours du coté de Ubeda et Baeza ont aussi été l'occasion d'enrichir notre vocabulaire espagnol, du terme "tapita". Contrairement à ce que le gentil suffixe "-ta", indique, il ne s'agit pas d'une coupette d'olives, servie avec un verre de vin, mais d'un vrai repas, qui normalement substitue un diner. Mais en bon touriste, nous avons commande à diner [entrée et plat], puis deux verres de vin, qui sont arrivés, joints de l'équivalent d'une entrée... la fameuse tapita donc. Une fois englouties nos deux entrées chacun, et pour attendre notre plat, nous avons commandés deux autres verres de vin. Qui nous ont donc été servis à nouveau avec deux tapitas. Je vous laisse imaginer comment on a galeré pour terminer nos plats. Quand la serveuse nous a demandé si on prendrait un dessert, je me suis dit qu'elle avait bien du se marrer toute la soirée! Enfin, bon, heureusement on a fait notre apprentissage andalou dans, ce qui s'est trouvé être le meilleur restaurant de tout notre voyage. Et puis ça nous a permis d'établir une règle de base pour le reste du voyage, d'abord commander une boisson seulement, voir ce qui vient avec, puis décider si il faut commander aussi un diner.

Autre expérience culinaire de cette partie du séjour, le "bocadillo del mercado". Principe de fonctionnement: acheter à la boulangere deux demies baguettes. Puis aller chez le charcutier et lui demander de remplir les demies-baguettes sus-dites de jambon, chorizo, lomo et queso. Tout ceci pour la modique somme de 5 euros, et avec le sourire du charcutier en plus (beaucoup mieux que celui de la crémière), qui est ravi de vous faire gouter et choisir parmi ces 15 lomos artisanaux...

Et puis, pour finir la parenthèse culinaire, on était au pays de l'huile d'olive: rangées d'arbres à perte de vue, première économie et employeur de la région, et odeurs de pression et  cuisson à tous les coins de rue.

L'homme [qui déteste que je l'appelle L'homme] jure qu'il va faire du vélo, comme un fou tout l'été pour éliminer les kilos espagnols, causés par les gentilles tapitas et les litres d'huile d'olive. [Au passage, la première photo de ce post est à son crédit]

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